Passereaux

Galluvet, le spécialiste des passereaux

L’ordre des passériformes comprend entre 5 000 et 6 000 espèces et représente ainsi plus de la moitié de l’ensemble des espèces d’oiseaux à travers le monde. Les canaris et les pinsons sont les espèces les plus appréciées.

Chez les passereaux, tout comme pour les autres oiseaux, l’anamnèse est très importante. Ainsi, les informations sur l’espèce, l’âge, les symptômes, l’alimentation et l’hébergement constituent un maillon essentiel pour poser le bon diagnostic.

Chez Galluvet Oiseaux et Volaille, nous avons une grande expérience avec les passereaux. En plus des canaris et des pinsons, vous pouvez également vous adresser à nous pour toutes les autres espèces de passereaux.

Examen général

L’examen général chez les passereaux est souvent plus limité, en raison de leur taille, mais il n’en est pas moins important. L’examen se déroule comme pour les autres oiseaux et commence simplement par un contrôle du poids et de la respiration.

Une attention particulière est portée à l’état des plumes (p. ex. la mue), à la masse du muscle pectoral (problème aigu ou chronique) et au ventre (le vétérinaire souffle sur les plumes pour les écarter et vérifier ainsi si l’abdomen présente une hypertrophie du foie ou des intestins). La peau est également examinée pour trouver toute trace de poquettes, d’ectoparasites, de piqûres de moustique, etc.

Examen spécialisé

Ensuite, il est habituel d’effectuer une analyse coprologique. Celle-ci permet de détecter la présence de coccidiose - une affection très fréquente chez les passereaux-, de mégabactériose (Macrorhabdus ornitogaster), de cochlosomose et de dysbactériose.

Un frottis du jabot peut donner des informations sur la présence de trichomonase , d’autres infections par flagellés et de levure dans le jabot (candidose).

Grâce à notre laboratoire interne en bactériologie, nous pouvons réaliser des cultures de germes pathogènes pour obtenir un antibiogramme. De cette manière, nous pouvons toujours administrer un traitement correct et ciblé et avoir ainsi une longueur d’avance sur le problème émergeant de (multi)résistance chez les passereaux.

Malgré tout, l’autopsie reste la méthode ultime pour poser un diagnostic correct pour les passereaux. Lors d’une autopsie, nous effectuons des frottis au niveau du jabot, du proventricule, du duodénum et du rectum, et des empreintes du foie frais, de la rate, des poumons, des reins et de tout autre organe présentant des anomalies. L’autopsie nous permet souvent de parvenir à un diagnostic clair, après quoi nous pouvons commencer un traitement ciblé et efficace.

Si vous souhaitez faire réaliser une autopsie de votre oiseau, conservez-le au frais (dans le réfrigérateur, pas au congélateur) et amenez-le dans les 72 heures suivant le décès (pour les oiseaux de petite taille, dans un délai de 24 heures).

Transport jusqu’au cabinet

Pour le transport, la plupart des éleveurs utilisent une cage d’exposition. Nous conseillons de placer l’oiseau dans la cage avant le départ pour qu’il puisse s’y acclimater. De cette manière, il laisse également des fientes fraîches dans le fond de la cage, ce qui facilite le prélèvement d’un échantillon pour l’analyse coprologique. Une feuille d’aluminium dans le fond de la cage évite que les fientes sèchent.

Zangvogels
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